SHE'S SUCH A TEASER (R).

Citation :: credits: DUTCHESS-SNOW @TUMBLR.
lyrics / scouting for girls - HEARTBEAT.
Always up for a laugh, she's a pain in the arse.
Every time that we meet, I skip a heartbeat.
ALEC BLACKSON FEAT. BASILE TRAGER

C’était étrange, cette sensation de solitude qu’il éprouvait, à cet instant, assis dans la grande salle silencieuse de la bibliothèque. Étrange, et... différent aussi. Il était tellement habitué à être entouré, depuis toutes ces années, à être constamment au cœur d’un groupe, accompagné par ses amis. Lorsqu’il rentrait chez lui, pour les vacances, c’était sa famille, qu’il retrouvait. Il avait presque failli oublier ce que c’était, de rester seul, de profiter du silence qui aurait pu sembler pesant et insupportable à quelqu’un d’autre, mais qui avait un drôle d’effet apaisant sur lui. Ça faisait du bien. Il n’avait pas à sourire, à prétendre être quelqu’un qu’il n’était pas, - même si rares étaient les fois où il se forçait à faire semblant, surtout auprès de ses proches. Il pouvait respirer un peu, sans se demander ce que les autres allaient en penser. Il ne fallait pas s’y méprendre, Basile adorait être en compagnie de ses amis, il n’imaginait pas comment il aurait pu survivre autrement. Mais tout le monde avait besoin de se retrouver face à face avec soi-même, de temps en temps, n’est-ce pas ? Même les plus sociables. Ses doigts redessinèrent la reliure en cuir ancien du livre qu’il ne lisait plus depuis quelques minutes, déjà, et lentement, il le referma. Alors que cette soirée aurait pu être prétexte à l’idée (assez tentante, d’ailleurs) de faire un vide dans sa tête, les pensées de Basile se mêlaient et s’entrechoquaient dans un véritable chaos. Le pire était de réaliser qu’il ne s’y retrouvait plus. Il avait l’impression que quelque chose clochait. Dans sa vie, dans son quotidien. Peut-être même dans son propre esprit ? Mallory était devenue drôlement distante, ces derniers jours, passant le plus clair de son temps avec ses copines de chambre. Il avait beau se convaincre du contraire, ce pressentiment ne l’abandonnait pas, - c’était comme si elle cherchait à l’éviter. Quoi qu’il en était, il était hors de questions pour Basile d’en faire toute une histoire, pour la simple et bonne raison que ce n’était pas lui, ce n’était pas dans sa nature et dans son caractère, de s’isoler dans un coin pour déprimer.

Ses yeux bleus voyagèrent à travers la grande bibliothèque, avant de s’arrêter sur l’horloge accrochée au mur. Il était presque huit heures et s’il arrivait avec du retard, une fois de plus, il allait avoir des ennuis. Pourtant, la perspective de retrouver les ‘siens’ dans la salle commune ne l’emplissait pas de joie, pas autant qu’il l’aurait souhaité. C’est en marmonnant sous son nez des paroles d’une chanson, que Basile se leva pour aller reposer le livre à sa place, avant de se diriger, finalement, vers la sortie. Cependant, au moment de quitter la pièce, il remarqua, du coin de l’œil, une silhouette entre quelques étagères. Ainsi donc, il n’était pas seul, depuis tout ce temps ? Son cœur manqua un battement, dès l’instant où il reconnut enfin les traits de ce visage qu’il lui aurait été impossible de ne pas distinguer, même s’il aurait fourni tous les efforts du monde pour que ce soit le cas. Son premier pas en arrière le rapprocha de la porte, aussi silencieux qu’un chat et ne voulant surtout pas se faire repérer. Le deuxième pas, en revanche, le conduit tout droit au désastre. Basile percuta de son dos une porte, qui grinça violemment en réponse, et aussitôt, il vit deux yeux d’un vert époustouflant se lever vers lui. « Oups, » fut le seul mot, - ou plutôt son étranglé, qui sortit de sa bouche alors que ses lèvres s'étiraient dans un sourire à la limite du coupable.

Citation :: GIFS; FREAKBETPHNTOM/SELLINE_S @ LJ
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Now there’s no holding back, I’m making to attack
My blood is singing with your voice, I want to pour it out.
lyrics / florence and the machine . howl

Cela faisait maintenant une bonne heure qu'Alec avait décidé de quitter la table des Serpentard ou elle mangeait avec Cherry, discutant de leur vacances respectives. Elle avait passé une journée épuisante, n'étant plus habitué à ce rythme si mouvementé qu'était celui de Poudlard, de ces cours. Puis cela faisait à peine quelques jours qu'ils avaient reprit qu'Alec n'en pouvait déjà plus d'entendre ses amis parler ainsi des autres élèves. D'accord, elle était toujours la première quand il s'agissait de rigoler un peu concernant un sang de bourbe, mais aujourd'hui, elle n'avait qu'une envie, c'était de se poser, ne réfléchir à rien et de laisser son cerveau en mode repos quelques heures avant de retourner dans ce tourbillon de rumeurs et d'insulte. C'est donc tout naturellement qu'Alec monta les marches jusqu'au quatrième étages, et se dirigea tranquillement vers la bibliothèque. Et oui, c'était un peu son sanctuaire cet endroit. Et aussi surprenant que ça soit, Alec avait du être la seule avoir eu l'idée de venir ici. L'endroit était désert. Et bien tant mieux pensa t elle.
Elle posa donc son sac de cours sur un petit fauteuil qu'il y avait dans un coin, comme pour dire aux autres, pas touche, c'est le mien bien qu'il n'y avait personne. Alec se sentait déjà mieux, se sentait à l'aise, protégé, comme si rien ne pouvait l'atteindre, que ce soit les pensées qu'elle n'arrivait pas à mettre en ordre, ou bien le fait que son père lui ai encore envoyé de l'argent ce matin pour acheté son silence sur la liaison qu'il avait avec sa collègue... Elle marcha en traînant des pieds vers un des mur recouvert de livres plus vieux les uns que les autres. Elle posa donc son regard sur la deuxième étagère, décidant que ce soir, le livre qui lui ferait tout oublier se trouverait ici. Les parcourant du bout des doigts, comme si un d'eux pouvait se réveiller (ce qui arrivait certaines fois d'ailleurs), elle s'arrêta finalement sur un tout petit livre qui était coincé entre deux énormes anciens livres qui à vue d'oeil se serait effriter si Alec avait décidé de choisir un des deux. Une fois ce petit livre recouvert d'un vieux cuir vert émeraude, Alec repartit vers son fauteuil, impatiente de se plonger dans un livre pour la première fois de l'année à Poudlard.
Cela faisait bien une heure que notre jeune femme lisait, ce qui semblait être un livre sur l'histoire des dragons. Rien de bien intéressant pour Alec diriez vous, mais sachez que pour elle, tout livres étaient bon à lire. Sa bibliothèque en était d'ailleurs la preuve même, pleins de livres sur des sujets qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, puis certains cachés dans le fond qui étaient des romans moldus, seul chose qu'elle possédait d'eux. Mais alors qu'elle tournait une énième page en faisant glisser une de ses mèches qui était venu lui gâcher la vue derrière son oreille, elle entendit le bruit d'une porte grincer. Elle se croyait seule pourtant. Elle leva donc la tête d'un geste brusque, et fut prise au dépourvu quand son regard vint rejoindre celui de Basile Trager. Ce n'était pas juste un moldu de gryffondor, c'était le moldu de gryffondor. Celui qui déstabilisait tant Alec quand elle le voyait, sans vraiment savoir pourquoi. C'était le moldu qui en bavait le plus avec Alec, qui restait si calme face à toutes ces insultes lancés au fil des ans. Ce Basile Trager qui donnait une drôle de sensation dans le ventre de la jeune femme quand elle croisait son regard d'un bleu si profond que vous ne vouliez qu'une chose, qu'il vous fixe ainsi des heures. Mais bien sûr, la jeune Blackson n'allait jamais avouer une chose pareil. C'était un moldu, elle une sang pur. Puis c'était une garce avec une grande gueule, lui c'était le mec cool que tout le monde apprécie et qui reste calme face aux problèmes...
Bref, lorsqu'elle comprit que c'était lui qui se trouvait en face d'elle, elle remit ses jambes correctement, qui était quelques secondes avant posé de façon nonchalante sur le fauteuil, pensant être seule. Elle s'empressa aussi de cacher son livre. Elle ne voulait pas que l'homme à qui elle faisait croire qu'elle le détestait voit qu'elle était capable d'apprécier la lecture. Il fallait qu'il garde en tête l'image de cette fille provocante qui ne réfléchissait jamais avant d'agir. « Qu'est ce que tu fiches ici Trager? » Elle avait remit ce masque qu'elle portait à longueur de journée, et sa voix se faisait cassante. « Tu crois que c'est ici que tu vas trouver un bouquin dans lequel on apprend aux moldus à se coiffer?! » Elle rigola d'un de ces rires qui vous glace le sang et qui sonne faux. En fait, elle ne le disait pas mes les cheveux de Basile, elle les trouvait juste parfait. Elle adorait la façon dont il les coiffaient, ou elle supposait ne les coiffaient pas. Mais il ne fallait pas qu'il le sache bien sûr... Elle attendit donc une réponse, le jugeant de haut en bas alors qu'elle s'enfonçait un peu plus dans son fauteuil, priant pour qu'il comprenne qu'elle voulait qu'il parte et non décide de s'installer sur un des fauteuils voisins au sien...

Sa seule envie, à cet instant là, était de disparaître. Cela l'aurait incroyablement arrangé, si le sol s'ouvrait sous ses pieds et l'engloutissait, afin qu'il évite de se sentir aussi gêné, - chose qu'il détestait par dessus tout, parce qu'à bien y réfléchir, il n'avait absolument rien fait de mal. A part espionner Alec, pendant un bref instant, tout en essayant de dissimuler la surprise qu'il ressentait quant au fait de la surprendre ici, à une heure pareille de la soirée. Depuis le temps qu'il la connaissait, si toutefois, on pouvait dire qu'il la connaissait ne serait-ce qu'un tout petit peu, Basile s'était dit qu'elle n'avait rien d'une fille qui venait lire un bouquin le soir, alors qu'elle avait l'opportunité parfaite de retrouver ses amis pour se raconter tous les ragots imaginables et s'en donner à cœur joie dans la critique des autres élèves. N'était-ce pas là son activité préférée ? Lorsque la jeune fille le remarqua, à son plus grand désespoir, et prit la parole, Basile se renfrogna. Tout compte fait, sa seule envie n'était pas de disparaître, mais il s'efforça à ne pas se laisser entraîner dans ce petit jeu malsain et ne parut pas le moins perturbé du monde. Bien évidemment, qu'il avait envie de répliquer. Ça le démangeait même, cette envie de lui montrer enfin qu'il avait, lui aussi, quelques remarques bien placées à son sujet dans la réserve. Mais ça ne ressemblait en rien à ce garçon patient et réfléchi qu'il était et il devait bien admettre qu'au fond, la seule idée de se montrer odieux avec elle lui était insupportable. Même s'il lui disait qu'elle était détestable, sans véritablement le penser. « Ça peut te paraître surprenant, mais j'étais en train de lire, » finit-il par prendre la parole d'une voix posée, alors que, malgré lui, la note d'ironie dans sa voix et la lueur mutine dans ses yeux se firent plus évidentes qu'il ne l'aurait voulu. Son but n'était-il pas de rester indifférent et de ne pas s'aventurer sur ce terrain miné avec une fille qui lui menait la vie dure depuis des années, maintenant ? La remarque d'Alec sur ses cheveux ne passa bien évidemment pas inaperçue, néanmoins, Basile se contenta de sourire et de l'ignorer. C'était la réaction la plus raisonnable et la plus sage qu'il pouvait avoir. Il fallait simplement qu'il pèse chacun de ses mots avant de les prononcer car mine de rien, dans sa tête, c'était un véritable tourbillon d'émotions. « Je me demande ce que toi, tu fais ici. A la recherche d'un nouveau dictionnaire d'insultes, parce que t'as déjà épuisé tout ton stock que tu repasses en boucle depuis déjà... quelques années ? » Et zut. Voilà précisément le genre de remarques qu'il s'efforçait à éviter. Tout était en réalité bien plus simple, - il n'avait qu'à y mettre fin tout de suite et s'en aller, parce que ce n'était pas dans sa nature, de se rabaisser jusqu'au sarcasme venimeux dont Alec faisait souvent preuve.

Mais cette perspective avait beau sembler digne à ses yeux, aux yeux de son interlocutrice, ça n'aurait été qu'une tentative de fuite minable. Basile avait passé des mois interminables à l'ignorer, à lui tourner le dos. Il ne sut dire si c'était à cause de son humeur plutôt morose, ce soir là, mais il se sentait drôlement fatigué de fuir lamentablement. Il ne fallait pas s'imaginer qu'il se laissait marcher sur ses pieds, en réalité, Alec était bien la seule personne à laquelle il permettait, sans ronchonner, ce comportement... Par tous les saints, et si Mallory avait raison ? S'il était amoureux... Non. Impossible. Basile déglutit péniblement, chassant ses pensées au prix d'un énorme effort. Ses yeux bleus se posèrent alors sur un bout de livre qui dépassait légèrement de l'accoudoir du fauteuil sur lequel Alec était assise et, en quelques secondes, la curiosité le submergea. Vraiment, il aurait tout donné pour découvrir ce qu'Alec était en train de lire. Alors, au lieu d'écouter la raison et la voix de la sagesse qui, d'habitude, guidait le moindre de ses actes, Basile se laissa tomber sur le fauteuil en face de la jeune fille, se surprenant à se délecter de l'agacement qu'il aperçut dans ses yeux. « Tu n'as pas à me remercier, je suis ravi de pouvoir te tenir compagnie, » renchérit-il en roucoulant avec un air moqueur. Ce n'était pas bien loin d'une mission suicidaire, mais contrairement à Alec et son impulsivité, il était certain d'avoir un petit avantage, - son calme légendaire. Et un nouveau coup d’œil dans sa direction lui fit comprendre qu'elle était déjà à deux doigts d'exploser.

Rêvait elle ou venait il de lui répondre? Pas répondre dans le genre, donner une réponse, mais plus lui lancer un pique! Alec cligna des yeux, complètement prise au dépourvu par la réplique de Basile, qui d'habitude, était du genre à se taire, et à se laisse insulter, préférant ignorer les critiques d'Alec et ses amis. Mais la, il lui avait répondu. Elle en rigola légèrement, car malgré la surprise d'entendre enfin un réplique de la part de ce jeune homme, elle était contente de voir qu'elle allait enfin pouvoir partager son passe temps favori. Et oui, quoi de plus ennuyant qu'une personne qui ne répond pas à vos insultes. La, ils allaient pouvoir rigoler!
Ca ne l'étonnait pas qu'il soit "sous le choc" de la voir ici. C'était principalement un endroit réservé aux fortes têtes des classes, aux solitaires à la recherche d'aventure, mais certainement pas à une élève perturbatrice comme Alec Blackson. Enfin, si vous pensiez qu'Alec n'est rien d'autre que ce personnage hautain, moqueur, et méprisant, vous ne la connaissiez pas vraiment. C'est ce qu'elle pensa de Basile. Lui aussi l'avait jugé sur ces actes, alors qu'il ne savait rien de sa vie. Tous les mêmes, se dit elle. Elle allait lui répondre quelque chose concernant sa remarque sur le fait qu'elle ai toujours les mêmes répliques, mais elle n'eut même pas le temps de dire un mot que Basile prenait déjà place dans le fauteuil se trouvant face au sien. Il se foutait d'elle littéralement ou était une tentative de suicide de sa part? En tout cas, elle n'arriva pas à sortir un seul mot quand elle croisa son regard lorsqu'il prit la parole « Tu n'as pas à me remercier, je suis ravi de pouvoir te tenir compagnie. » Mais c'est qu'il avait de l'humour le petit. Puis si il pensait l'énervé comme ça, il se mettait le doigt dans l'oeil. Au contraire, elle trouvait que cela mettait un peu de piment entre les deux de s'insulter enfin mutuellement. Quoi que pour mettre du piment dans une relation, il faudrait qu'au départ, il puisse y avoir un semblant de relation. Car si on regardait bien, Alec ne savait pas comme définir ces échanges qu'ils avaient depuis des années. C'était plutôt une sorte de monologue depuis des années qu'Alec faisait quand elle se trouvait face à lui. Pour cacher ses véritables sentiments, bien sûr. Pour quoi d'autre sinon...
« Tu comptes rester la longtemps Trager?! » Elle soupira, lui faisant comprendre qu'elle n'attendait pas de réponse, mais seulement qu'il s'en aille directement. « Je ne voudrais pas qu'on me voit traîner avec quelqu'un comme toi! » Ou plutôt qu'on la voit traîner à la bibliothèque... Puis imaginez, si Arya passait par la, elle se ferait des tas de films dans sa tête... Attendant sa réponse, elle prit ses aises, jouant la carte de la provocation, histoire de l'émoustiller, afin qu'il perde ce sourire sur ses lèvres qu'elle trouvait si craquant mais qu'elle ne supportait pas tellement ca pourrait la faire se transformer en une de ces naïves jeunes filles qui tombent amoureuse... Elle posa donc ses jambes sur l'accoudoir, le regarda droit dans les yeux en ce mordant légèrement la lèvre, et mettant le décolleté de son haut noir en valeur. Il voulait jouer à ce jeux avec elle, elle n'allait pas se priver. Faisant glisser une mèche entre ses doigts et jouant avec, elle continua son nouveau jeu préféré « Basile... » Elle dit son prénom avec une lenteur calculé, histoire qu'il se demande ce qu'elle voulait, et se leva doucement, se dirigeant vers son siège. Une fois près de lui, elle se pencha, posant les deux mains de chaque côté du siège, se trouvant juste au dessus de Basile. Se rapprochant de son oreille, elle l'effleura juste ce qu'il faut pour qu'il pense qu'elle ne le faisait pas exprès. En fait, elle en avait rêvé depuis des années, mais elle n'allait pas lui avouer aujourd'hui tout de même! Une fois ses lèvres arrivaient au niveau de son oreille, Alex continua. « Tu sais que... » Pause. Elle voyait que Basile était figeait, ne sachant pas comment réagir face à cette attitude... « Tu as... Un prénom vraiment laid! » Elle avait dit cela d'une voix qui se voulait sensuel, vous savez celui qu'utilise les femmes quand elles vous font des confidences. Puis cette dernière partie de la phrase se fit cassant. Elle ne bougeait pas, attendant la réaction de Basile. Qu'allait il faire avec ce pique qui certes, était assez nul en soit, mais le tout était de jouer le rôle de la garce qui se joue de vous...